Pour le tournage de Jetlag, nous recherchons un bar où nous pourrions filmer deux jours (pas nécessairement deux jours de suite, mais en deux temps sur deux semaines par exemple)
En quelques mots ce bar doit être:
- pas trop grand pour une raison simple, avec peu de figurants (20/25 max) nous devons donner le sentiment d'un lieu très fréquenté
- plutôt moderne, pas de couleur vive ou "ancienne", plutôt des teintes crèmes, douces avec un grand (long) bar sur lequel les clients sont accoudés (ou proches) plutôt qu'assis autour de tables
- last but not least qui serait dispo pour un tournage sur deux jours pleins, style bar de nuit fermé le dimanche/lundi ou ouvert après 18h (et du coup temps de tournage possible en journée avant ouverture).
- et enfin en terme de dédomagement: les coûts de l'électricité (les lumières style Fresnel ça consomme de l'énergie)
Merci de nous contacter pour toutes suggestions.
le synopsis
le synopsis
Vivre à quelques milliers de kilomètres de la femme ou de l’homme que l’on aime peut s’avérer douloureux. D’autant plus quand il se double d’un décalage horaire de plusieurs heures.
Cependant l’expérience a montré que les méandres de la vie amoureuse ne se mesurent pas en espace temps ou en espace géographique. Six mille km ou six mille cm peuvent être des distances égales quand on vit en couple.
Elsa et Nils, jeunes trentenaires, vont traverser une épreuve difficile en affrontant ceux qui tirent les ficelles de l’amour. Le destin ou les contingences, peu importe leurs noms, ceux qui tirent le ficelles sont souvent les gagnants d’une partie inégale.
Vivre à quelques milliers de kilomètres de la femme ou de l’homme que l’on aime peut s’avérer douloureux. D’autant plus quand il se double d’un décalage horaire de plusieurs heures.
Cependant l’expérience a montré que les méandres de la vie amoureuse ne se mesurent pas en espace temps ou en espace géographique. Six mille km ou six mille cm peuvent être des distances égales quand on vit en couple.
Elsa et Nils, jeunes trentenaires, vont traverser une épreuve difficile en affrontant ceux qui tirent les ficelles de l’amour. Le destin ou les contingences, peu importe leurs noms, ceux qui tirent le ficelles sont souvent les gagnants d’une partie inégale.
vendredi 30 décembre 2011
mardi 27 décembre 2011
Supportez le projet sur Ulule.com
A partir de mercredi 28 décembre, vous allez pouvoir supporter le court-métrage "Jetlag" en devenant co-producteur. Les parts pour être associé au projet sont de 10, 25 ou 50 €. Selon vos moyens et vos envies.
Rejoignez la communauté Ulule sur Ulule.com ou directement pour Jetlag via http://fr.ulule.com/jetlag/
Et faites circuler l'information autour de vous.
A bientôt et par avance grand merci pour votre soutien.
Denis
Rejoignez la communauté Ulule sur Ulule.com ou directement pour Jetlag via http://fr.ulule.com/jetlag/
Et faites circuler l'information autour de vous.
A bientôt et par avance grand merci pour votre soutien.
Denis
samedi 24 décembre 2011
le budget pour le projet "Jetlag"
BUDGET « JETLAG », court métrage d’environ 15/18 mn
Merci à tous celles/ceux qui veulent bien participer au financement du projet « Jetlag ». Dans les prochains jours vous pourrez apporter votre contribution (10/20/50 euro ou +) via un site de crowdfunding
A partir de 20€ de participation, votre nom apparaîtra au générique du film
A partir de 50€ de participation, vous bénéficierez en plus d’un DVD du court en avant-première
Le tournage aura lieu en février et mars 2012. Le film pourra être visionné à partir de juin 2012 après les nécessaires étapes de post-production (montage, mixage…)
Dans les détails….
Financement demandé via site de crowdfunding (Mutuzz ou Ulule) : 4000 euro
Fonds propres : 1500 euro
Pour un budget total de 5500 euro (6 jours de tournage)
1/ Nourriture + transport (la régie)
Les comédiens et les techniciens ne sont pas rémunérés en revanche ils bénéficient de repas et de boissons durant le tournage et d’un défraiement pour les transports
Soit 1 à 2 repas par jour (x 6) + boissons pour une moyenne par jour/tournage de 15 personnes
Total : nourriture + transport = 1500 euro
2/ Caméra, son et lumière
Pour le matériel technique, nous pouvons bénéficier de prêt de la part de sociétés de production amies de l’équipe de Jetlag. Nous prévoyons cependant des locations de matériel avec
750 euro pour l’image, 1000 euro pour le son et 1500 euro pour les lumières
3/ le décor, le maquillage et les costumes
Là encore les lieux de tournage nous sont prêtés gracieusement par des organisations amies ou des personnes proches de l’équipe de Jetlag. Pour autant nous évaluons à 750 euro les besoins en financement pour les costumes et le maquillage en particulier.
Total : 1 + 2 + 3 = 1500 + 3250 + 750 = 5500 euro
UNE EQUIPE
Denis Gouzerh (Paris, 1963)
Comédien-réalisateur qui a été militant et salarié de « Médecins Sans Frontières » pendant une quinzaine d’années. Il a parcouru durant cette période une trentaine de pays pour assister les populations affectées par la guerre, les épidémies et les catastrophes naturelles. Il est persuadé de la nécessaire solidarité avec les indésirables, les exclus des compromis politiques.
Parmi ses projets artistiques il a été co-créateur en 2003 d’une troupe de théâtre « les Brigades Roses » avec laquelle il a monté plusieurs pièces de Copi, Cossery ou Pinter. En 2009 lors d’un stage « interprétation cinéma » organisé par la Compagnie Ouïe-Dire, il bascule dans la mise en scène cinéma et participe en tant qu’assistant-réalisateur au court métrage « Mme Ka » en 2010. Cette nouvelle passion le pousse à écrire et réaliser son premier court métrage « la Mort de Tanguy » en 2011. Aujourd’hui il prépare son deuxième court « Jetlag » dont il a écrit le scénario, pour un tournage prévu en février-mars 2012.
Rodrigue Ako (Lomé, 1976)
Cadreur-monteur et réalisateur, il a travaillé pendant une dizaine d’années au Bénin pour diverses productions et au Sénégal comme JRI pour l’agence Associated Press.
Installé en France depuis 2008, il travaille en indépendant avec plusieurs sociétés de production comme cadreur et monteur.
Depuis deux ans, il travaille avec l’association BATAILLE D’UN JOUR qui produit des docu-fictions qui retracent la bravoure des militaires français pendant la débâcle de France 40.
Il a été aussi le chef opérateur, le monteur et l’étalonneur du premier court métrage de Denis Gouzerh
David Jornet (Barcelona, 1971)
Musicien et son designer espagnol qui commence sa carrière musicale aux années 90s, d’abord en Espagne et maintenant en France, où il habite depuis le 2007.
Parmi ses projets, à côté des albums pour son projet solo Strange2, on peut trouver des musiques pour la publicité et TV, des collaborations et workshops pour des studios de designers, et aussi des musiques originales pour des courts et long-métrages dont le
dernier c’est le film muet « La dame masquée (Victor Tourjansky, 1924) » sur un
projet commandé par le musée du Jeu de Paume de Paris.
C’est aussi le compositeur de la bande originale du premier court-métrage de
Denis Gouzerh, « La Mort de Tanguy».
www.micro-clima.com
Toujours épris d'aventures artistiques depuis une quinzaine d’années, mon activité, c'est principalement développé en tant qu'ingénieur du son dédié à l'image, trouvant une réponse à mes questions originelles et cristallisant ainsi un positionnement entre plusieurs domaines. Ces dernières années, j'interviens de plus en plus en tant que Producteur et Réalisateur avec parfois un retour vers mes premiers amours; la musique, les mots...
Loubna Fahmi diplômée de l'Institut national des Langues Orientales en arabe et de l'université de St Denis en Master Cinéma. Elle débute sa carrière en tant que chargée de mission audiovisuelle auprès de l'ambassade de France à Amman en Jordanie. Elle continue sa coopération avec le cinéma du Proche et Moyen-Orient, en assistant le producteur Salem Brahimi sur le film "Africa is back" et depuis 2011, elle a rejoint le réalisateur palestinien Raed Andoni et la productrice Palmyre Badinier au sein des maisons de production Dar Films et Les Films de Zayna. Parallèlement elle développe ses propres projets de films documentaires.
Pennie Verseau (régie)
Eric Aurégan
À l’origine, je suis musicien, compositeur, auteur de chansons, c'est en les interprétants
que des films "orphelins" se déroulaient dans ma tête. Je me dirigeais alors vers une
formation de réalisateur, pour enfin me spécialiser dans la réalisation Sonore.
Pour autant procurer des images mentales à l'auditeur, proposé un son à l'image muette
puis créer des images d'un silence, d'une situation, deviens rapidement une gymnastique, un aller-retour de prédilection, transcendant ainsi les barrières du monde des images comme celui des sons; c'est devenu un tout. Et ceci au risque de déplaire à certain attaché à notre vielle société spécialisé.
Comme dans mon expression d'origine, l’art de la dramaturgie tiendra le rôle de créateur d'une structure à renforcer, parfois à fragiliser, mais dans tous les cas l'envie de l'animer persistera.
Les réalisateurs qui ont fait appel à moi ont souvent découvert que j'étais bien plus qu'un technicien et par bonheur certains ont su jouer de cette pluridisciplinarité.
Au fils des années, je suis passé avec souplesse et gourmandise des domaines aussi
variés que le son au cinéma, la photo, l'art vidéo contemporain, le son pour documentaire de création, la musique, la réalisation de film, la réalisation d'album, l'écriture,... la poésie.
Oui, je dis la poésie car certains ne disent-ils pas qu’elle est issue des "correspondances" et alors je l'entrevoie souvent dans les interstices des créations multidisciplinaires.
Loubna Fahmi (1er assistant réalisateur)
Loubna Fahmi diplômée de l'Institut national des Langues Orientales en arabe et de l'université de St Denis en Master Cinéma. Elle débute sa carrière en tant que chargée de mission audiovisuelle auprès de l'ambassade de France à Amman en Jordanie. Elle continue sa coopération avec le cinéma du Proche et Moyen-Orient, en assistant le producteur Salem Brahimi sur le film "Africa is back" et depuis 2011, elle a rejoint le réalisateur palestinien Raed Andoni et la productrice Palmyre Badinier au sein des maisons de production Dar Films et Les Films de Zayna. Parallèlement elle développe ses propres projets de films documentaires.
Pennie Verseau (régie)
note d'intentions
A première vue, le « Bar », où se retrouvent Elsa et Nils, peut sembler étrange ou tout au moins surprenant. Les horloges murales n’ont pas d’aiguille et les panneaux accrochés aux murs informent dans une langue qui nous est inconnue. Il est peuplé d’une faune bruyante et bigarrée, une sorte de condensé d’humains, de toutes les couleurs et de toutes les origines. Pour autant toutes ces personnes rassemblées prennent visiblement beaucoup de plaisir à se retrouver pour boire un verre et grignoter des tapas comme dans n’importe quel bar.
Pour Elsa et Nils, la passion réciproque qui les anime ne souffre d’aucun soupçon. Aussi quand deux membres d’une mystérieuse Organisation, qui se présentent comme les gestionnaires du « Bar » mettent en doute ce lien passionnel, ils réagissent par le mépris. Une photo d’Elsa dans les bras d’un autre homme, une bande sonore sur laquelle on peut entendre nettement Elsa faisant l’amour avec un certain David ne sont pas des éléments suffisants pour fragiliser leur union amoureuse. Et pourtant…
Le « Bar » et « l’Organisation » ne sont dans cette histoire que des métaphores. Nos passions amoureuses sont éphémères. Elles commencent sans que nous n’y prenions garde et se terminent bien souvent en queue de poisson sans que nous n’y puissions grand chose. Nous avons tous discuté longuement avec nos ami(e)s des raisons ou des hasards pouvant expliquer même partiellement ce phénomène et les résultats sont la plupart du temps peu convaincants. Les croyants finissent par évoquer le destin (ou Dieu) et les agnostiques se retranchent derrière les contingences. Alors quoi ?
Imaginons un instant que nous puissions séparer hermétiquement les moments d’intense passion et les moments de banale coexistence dans la vie d’un couple amoureux. D’un côté nous avons
le « Bar » représentation de notre inconscient amoureux et d’un autre côté, notre environnement quotidien indépassable. L’Organisation va en permanence se charger de confondre les deux univers en affaiblissant les frontières.
Dans « Jetlag », Nils, le garçon, est le maillon faible du couple. Il est progressivement envahi par un instinct de jalousie. Il accuse Elsa d’infidélité sur la base de preuves extrêmement fragiles et finit par succomber aux charmes de sa collègue de bureau.
Une histoire simple qui ne prétend pas mettre en accusation l’une ou l’autre personne d’un couple d’amoureux mais qui invite à prendre le pouvoir au sein de « l’Organisation ». A se libérer en somme…
Jetalg: un deuxième court-métrage
Jetlag est un projet de court métrage d’environ 15mn
Il s’agit d’une fiction dramatique qui fouille dans nos mémoires les raisons de nos coups de foudre amoureux et de nos ruptures tout aussi brutales. L’expérience a lieu sur un couple de trentenaires. Honni soit qui mal y pense !
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